Le 13 février, 15 militantes engagées dans les préparatifs de la Journée mondiale des droits des femmes (8 mars) ont été arrêtés et placées en garde à vue. Sous prétexte de lutte contre le terrorisme des perquisitions ont été effectuées à leurs domiciles, ainsi que dans les bureaux du Syndicat des fonctionnaires municipaux Tüm Bel Sen, du Syndicat des travailleurs des services sanitaires et sociaux SES et de la Confédération des syndicats des fonctionnaires publics la KESK.
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