Pendant le conflit sur les retraites de 2010, 5 militants syndicaux de ROANNE avaient été présentés devant la justice pour des faits qui n’ont jamais été retenus. Le tribunal de Roanne avait déclaré leur relaxation dans ce dossier. Mais, à la demande du Procureur de la République de Lyon, ils devaient se soumettre à des tests d’ADN comme s’ils étaient des grands criminels. Nos camarades ont refusé cet examen et la suite des leurs ennuis commencent.
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