Suite au CST du 20 décembre, malgré un rejet unanime des organisations syndicales, aucune avancée n’a été observée, laissant nos questions sans réponse.
La collectivité persiste dans sa volonté de passer en force, illustrant une fois de plus son
mépris pour le dialogue social.
« On passe le dossier et on verra les détails après »
Aucune leçon n’a été retenue sur cette méthode de fonctionnement. Preuve en est le
dossier « temps de travail » où l’autorité territoriale passe en force et est obligée de faire
machine arrière, car « les détails » justement n’avaient pas été anticipés.
Le 8 janvier, date de la mise place de la mobilité inter-sites, le personnel a décidé de faire
de cette journée un temps fort, en se mobilisant pour dire NON.
Pour du respect, de la considération et de l’écoute, toutes et tous en grève.
Unis contre l’autoritarisme, notre voix compte !